20/04/2015
CHUT
montagnes
soleil de fin de route
bien arrivés
Au téléphone tu dis
je suis malade
trois mots
trois tonnes d’argile
sans émail
Moi l’oiseau rieur
le bec le cœur
en une seconde
cloués
Estelle Fenzy, Chut (le monstre dort). La Part commune, 2015
09:38 Publié dans La poésie des autres
Les commentaires sont fermés.