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C’est l’heure attendue
sur la table tombe
interminablement
la chevelure de la lampe
La nuit rend la fenêtre immense
Il n’y a personne
la présence sans nom m’entoure
Octavio Paz, Le feu de chaque jour, Poésie/Gallimard, p. 49
14:40 Publié dans La poésie des autres
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