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« L'HÉCATOMBE DES ORMES | Page d'accueil | VÉRITÉ DE LA POÉSIE »
Maman ô maman l’aube se dérobe
à mes yeux de sable, ils m’ont vêtu
d’un linceul puis enterré dans les
vents, je n’entendrai plus ta voix ni
les pleurs de ton âme, mon tréfonds
trépasse dans sa robe de sang.
Olivier Deschizeaux, Le soldat mort, Rougerie, p. 28
14:39 Publié dans La poésie des autres
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